Dans la vie d’un karatéka, certaines dates sont inscrites au calendrier depuis longtemps.
Pour Daniel Thomas l’instructeur fédéral de la section karaté de l’Amicale laïque de Condat sur Vienne, le 16 décembre 2022 se voulait un rendez vous à ne manquer sous aucun prétexte. Il se rendait ce jour-là, convocation en poche au centre national d’entrainement de la Fédération Française de Karaté à Montpellier pour l’examen ceinture noire 6ème dan karaté do.
Accueillis par Serge Chouraqui responsable de la commission nationale spécialisée des dans, grades et équivalents, les candidats étaient dirigés vers leurs jurys respectifs pour déroulement de l’examen et démonstration des différentes unités de valeur requises pour l’obtention du grade : kata (formes codifiées), bunkai (applications du kata), kion (démonstration de techniques et mise en application sur son partenaire) kumité (combat) et enfin entretien avec le jury.
Au terme d’une prestation très dense physiquement mais ressentie de qualité par le jury, le verdict tombait : admis au 6ème dan !
Dixit le Président de la FFK Francis Didier, ce grade des plus symbolique synonyme de reconnaissance parmi les hauts gradés, est une étape essentielle, il représente l’aboutissement d’un parcours. Tout ce qui pouvait être fait sur le plan du travail technique a été accompli ; le pratiquant entre dans le véritable travail de l’esprit.
Cette réussite, difficile pour Daniel Thomas, de ne pas y associer les trois professeurs qui depuis 42 ans ont par leur enseignement contribué à construire son karaté : messieurs Jean-Paul Chabois, Christian Vareilhac et depuis 1992 Gérard Moreau professeur emblématique du Shoto karaté club d’Aixe sur Vienne .
Néanmoins si le 6ème dan résulte de plusieurs dizaines d’année de pratique, sa concrétisation se construit sur plusieurs semaines de préparation.
Affiner ses techniques, améliorer ses katas, rentrer en harmonie avec son uke (partenaire et pour l’occasion ami Frederic Sudraud lui-même candidat admis à l’examen) pour se rapprocher à considérer que c’est possible d’une certaine perfection. In fine, au fil des entraînements les doutes s’il en existait, laissaient place à la certitude, le voyage à Montpellier se devait d’être une réussite… il l’a été !
Pour Daniel Thomas l’instructeur fédéral de la section karaté de l’Amicale laïque de Condat sur Vienne, le 16 décembre 2022 se voulait un rendez vous à ne manquer sous aucun prétexte. Il se rendait ce jour-là, convocation en poche au centre national d’entrainement de la Fédération Française de Karaté à Montpellier pour l’examen ceinture noire 6ème dan karaté do.
Accueillis par Serge Chouraqui responsable de la commission nationale spécialisée des dans, grades et équivalents, les candidats étaient dirigés vers leurs jurys respectifs pour déroulement de l’examen et démonstration des différentes unités de valeur requises pour l’obtention du grade : kata (formes codifiées), bunkai (applications du kata), kion (démonstration de techniques et mise en application sur son partenaire) kumité (combat) et enfin entretien avec le jury.
Au terme d’une prestation très dense physiquement mais ressentie de qualité par le jury, le verdict tombait : admis au 6ème dan !
Dixit le Président de la FFK Francis Didier, ce grade des plus symbolique synonyme de reconnaissance parmi les hauts gradés, est une étape essentielle, il représente l’aboutissement d’un parcours. Tout ce qui pouvait être fait sur le plan du travail technique a été accompli ; le pratiquant entre dans le véritable travail de l’esprit.
Cette réussite, difficile pour Daniel Thomas, de ne pas y associer les trois professeurs qui depuis 42 ans ont par leur enseignement contribué à construire son karaté : messieurs Jean-Paul Chabois, Christian Vareilhac et depuis 1992 Gérard Moreau professeur emblématique du Shoto karaté club d’Aixe sur Vienne .
Néanmoins si le 6ème dan résulte de plusieurs dizaines d’année de pratique, sa concrétisation se construit sur plusieurs semaines de préparation.
Affiner ses techniques, améliorer ses katas, rentrer en harmonie avec son uke (partenaire et pour l’occasion ami Frederic Sudraud lui-même candidat admis à l’examen) pour se rapprocher à considérer que c’est possible d’une certaine perfection. In fine, au fil des entraînements les doutes s’il en existait, laissaient place à la certitude, le voyage à Montpellier se devait d’être une réussite… il l’a été !